Culture de pommes de terre au GAEC de Puy-Basset: Fin juillet 2014

Les premières fleurs apparaissent, les tubercules sont formées.

Le GAEC de Puy-Basset (2014)

Cette année nous sommes parti sur une surface de culture de pommes de terre un peu plus importante que l'année précédente : 6000 m2 avec en plus 500 m2 de pommes de terres nouvelles. Une fois de plus, l'été a était bien agité avec des mois de juillet et août bien pluvieux ! Les pommes de terre on attrapées le Mildiou qu'on a maîtrisé en dafannant toutes les pommes de terre. Malgré cela nous avons dût laissé sur le champ de nombreuse tubercules abimées. Mais la récolte reste bonne ! Moins en quantité que l'année précédente, mais meilleure en qualité.Cette année nous avons commencé la culture d'échalotes, d'oignons, de carottes et de fraises.Les échalotes et les oignons, contaminées par le mildiou comme les pommes de terres, ont peu donné et ce sont très mal conservé. Les carottes, quand à elles, sont prêtes et belles ! Les fraises ne seront commercialisables que la saison prochaine en raison du temps de conversion en bio du terrain et l'attente de la pleine maturité des plants mis en place cette année.

Bonne dégustation et n'hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions, rencontrer des soucis avec les légumes, ou simplement passer une commande !

Le GAEC de Puy-Basset (2013)

En mai 2013, Simon s'est installé au côté d'Hervé, éleveur de vaches salers depuis 1999, pour créer le GAEC de Puy-Basset. A 800 mètres d'altitude, au milieu de 65 vaches Salers et 20 génisses, ils ont planté 5000 m2 de pommes de terre en agriculture biologique. Sans désherbant, sans pesticide, des Charlottes, Gourmandines, Rosabelles et Désirées ont poussé au milieu d'un été bien particulier pour une première année de plantation. Mais la chaleur et les quelques pluies de juillet / août ont permis une bonne récolte et offert de belles pommes de terre. Ce petit blog vous présente les étapes de cette culture, de la préparation du sol à la récolte, sans vouloir prétendre donner comme exemple cet itinéraire technique ! Car on commence, on apprend, pour s'améliorer, éviter certaines erreurs et repartir l'année suivante motivés pour planter une surface deux fois plus grande !